Ce dimanche
Décidée à joindre vos rangs
J'ai parcouru en un rien d'temps
Les mots des uns
Les maux des autres
Et de prose en sonnet
De sonnet en balade
Me suis enivrée de vos récits
Ai parcouru vos âmes
Et m'y suis fondue
Il y a mes préférés,
Ceux que j'aime tout entiers
Et chez chacun deci-delà
Le texte qui me foudroie
Tant il parle de moi
N'est-ce pas cela être auteur ?
Toucher ses lecteurs en plein cœur
Leur donner un peu de soi
Un peu de joie
Pour tous vos mots, je n'ai qu'un mot :
Bravo
Auteur : Annln
mercredi 29 mai 2013
samedi 25 mai 2013
Au delà
Défi Desmotsdits : Réécrire les paroles de la chanson "Comme toi", de Jean-Jacques Goldman
Version proposée par Nairolf
Images d'avant hier et oublis de demain
Une famille entière vit au creux de tes mains
Elle ose chaque jour un pas de plus
Sur ton chemin
Après une vie d'ivresse, de brillants souvenirs
Il y eut la tristesse de te voir partir
Il a fallu du temps pour oublier
Notre chagrin
Au delà,
Au delà, au delà, au delà,
Au delà de ce que je vis sans toi
Au delà de nos villes et de nos lois
Au delà,
Au delà, au delà, au delà
Chaque dimanche était une nouvelle occasion
D'hiver en été de partager nos passions
Nos heures étaient si douces pour échanger
Nos illusions
Tu as connu l'amour tu as connu la mort
D'une Hélène incroyable qui te rendait plus fort
Il a fallu qu'un jour s'éteignent
Ses yeux en or
Au delà,
Au delà, au delà, au delà
Au delà de ce que je vis sans toi
Au delà de nos villes et de nos lois
Au delà,
Au delà, au delà, au delà
Tu nous as vu grandir tu nous as apporté
Les plus simples plaisirs que la Terre ait portés
Savoir se promener sous le soleil
Dans ton verger
Le jour de ton départ je me suis rappelé
Ces larmes dans ton regard lorsque j'étais allé
A l'hôpital une dernière fois
Pour te saluer
Au delà,
Au delà, au delà, au delà
Au delà de ce que je vis sans toi
Au delà de nos villes et de nos lois
Au delà,
Au delà, au delà, au delà
Auteur : Nairolf
Version proposée par Nairolf
Images d'avant hier et oublis de demain
Une famille entière vit au creux de tes mains
Elle ose chaque jour un pas de plus
Sur ton chemin
Après une vie d'ivresse, de brillants souvenirs
Il y eut la tristesse de te voir partir
Il a fallu du temps pour oublier
Notre chagrin
Au delà,
Au delà, au delà, au delà,
Au delà de ce que je vis sans toi
Au delà de nos villes et de nos lois
Au delà,
Au delà, au delà, au delà
Chaque dimanche était une nouvelle occasion
D'hiver en été de partager nos passions
Nos heures étaient si douces pour échanger
Nos illusions
Tu as connu l'amour tu as connu la mort
D'une Hélène incroyable qui te rendait plus fort
Il a fallu qu'un jour s'éteignent
Ses yeux en or
Au delà,
Au delà, au delà, au delà
Au delà de ce que je vis sans toi
Au delà de nos villes et de nos lois
Au delà,
Au delà, au delà, au delà
Tu nous as vu grandir tu nous as apporté
Les plus simples plaisirs que la Terre ait portés
Savoir se promener sous le soleil
Dans ton verger
Le jour de ton départ je me suis rappelé
Ces larmes dans ton regard lorsque j'étais allé
A l'hôpital une dernière fois
Pour te saluer
Au delà,
Au delà, au delà, au delà
Au delà de ce que je vis sans toi
Au delà de nos villes et de nos lois
Au delà,
Au delà, au delà, au delà
Auteur : Nairolf
mardi 21 mai 2013
Comme moi
Défi Desmotsdits : Réécrire les paroles de la chanson "Comme toi", de Jean-Jacques Goldman
Version proposée par Sam
S'en aller prendre l'air et puis faire un tour
S'arracher des city, des fous et de ces tours
Hors des cartes mentales dessinées
Jour après jour
La nuit est mon amie, les esprits de mes envies
Festoient en cœur, s'abreuvant jusqu'à la lie
Des liqueurs de mes passions
Jamais assouvies
Comme moi (*8)
Comme moi que je regarde tout bas
Comme moi hors de ce corps, las
Comas, las (*4)
Un être sans désir et un double-roi
Qui ne vit de ce que je ne suis pas
Déambulant dans un monde où mes craintes
Dorment au bois
Oiseau spectral, corbeau-jais, je l'entends me parler
Croissent les douleurs de pouvoir avec lui m'envoler
Je hais ce soleil inéluctable,
Brûlé, empressé
Comme moi (*8)
Comme moi que je regarde tout bas
Comme moi hors de ce corps, las
Comas, las (*4)
Je suis ce que je ne suis pas, voici près de 30 ans
Mirage et volute d'un paysage blanc
Où d'autres yeux psalmodient
Leurs chants
La réalité n'est qu'amère, l'enfer c'est moi
Les portes s'ouvrent, un lieu sans fond ni loi
On le dit avenir, je le vois
Si froid
Comme moi (*8)
Comme moi que je regarde tout bas
Comme moi hors de ce corps, las
Comas, las (*4)
Auteur : Sam
Version proposée par Sam
S'en aller prendre l'air et puis faire un tour
S'arracher des city, des fous et de ces tours
Hors des cartes mentales dessinées
Jour après jour
La nuit est mon amie, les esprits de mes envies
Festoient en cœur, s'abreuvant jusqu'à la lie
Des liqueurs de mes passions
Jamais assouvies
Comme moi (*8)
Comme moi que je regarde tout bas
Comme moi hors de ce corps, las
Comas, las (*4)
Un être sans désir et un double-roi
Qui ne vit de ce que je ne suis pas
Déambulant dans un monde où mes craintes
Dorment au bois
Oiseau spectral, corbeau-jais, je l'entends me parler
Croissent les douleurs de pouvoir avec lui m'envoler
Je hais ce soleil inéluctable,
Brûlé, empressé
Comme moi (*8)
Comme moi que je regarde tout bas
Comme moi hors de ce corps, las
Comas, las (*4)
Je suis ce que je ne suis pas, voici près de 30 ans
Mirage et volute d'un paysage blanc
Où d'autres yeux psalmodient
Leurs chants
La réalité n'est qu'amère, l'enfer c'est moi
Les portes s'ouvrent, un lieu sans fond ni loi
On le dit avenir, je le vois
Si froid
Comme moi (*8)
Comme moi que je regarde tout bas
Comme moi hors de ce corps, las
Comas, las (*4)
Auteur : Sam
vendredi 17 mai 2013
Tu vas me manquer
Sur un air de départ quatre mots qui résonnent
Sur tes lèvres ces mots comme autant de promesses
Dans tes yeux ce reflet qui sans arme me laisse
Tu t'eloignes de moi et déjà je frissonne
Si je ferme les yeux doucement je m'étonne
De sentir encore sur ma peau tes caresses
De rêver à nos mille jours de tendresse
Envahi par ces mots dits qui changent la donne
En écho tous ces mots et les tiens et les miens
Tissent sans regret un indéfectible lien
Un pont entre nos âmes un rêve détraqué
Quatre mots qui résonnent de se sentir libres
Ivres de nous et plus je vivre et plus tu vibres
Comme un hymne pour demain : tu vas me manquer
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