Dos au mur tu ne sais s'il faut pleurer
Ou non
Tu la vois
Cette ligne bleue
Une piste
Suis-là
Jusqu'au retour des lignes claires
En face de toi
Cette ligne courbe
Laisse-lui une chance
De t'envahir en douceur
De sourire avec toi
A l'immensité
Des oublis
Au fond de ton vide
Tout au fond
Veille sur toi
Une ligne horizontale
Une loi des drames
Immuable amie
Qui te vide des doutes
Et elle naît comme une surprise
Celle que tu n'attendais plus
Loin des sagesses idéales
Cette ligne oblique
Une histoire
Si banale
Si pure
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5 commentaires:
n'est-elle pas celle-là
celle que l'on attend là
Vide et sans vraiment l'attendre
n'est-elle pas l'autre tendre.....
Jete-toi à l'eau...
Aime de nouveau...
Bisous et c'est si beau j'aimerai que ce soit de moi que l'on parle....
je claque du pied gauche, je m'aggace... hurlerais bien.... je suis jalouse... elle a de la chance la réalité... de te connaitre....
oh l'autre hé qui met du Noir Des' sans en avoir l'air ^^
en même temps belle réf pour un texte tout en courbe....
@ Sulpiride : Mais tu fais partie de ma réalité ! Et les quelques échos de mes mots qui te touchent en témoignent...
Merci pour ton regard si sensible...
@ Sam : Une référence ? Ah bon ?
Cela m'a paru si logique...
Doit-on encore et toujours se courber pour une ligne droite ...
et quelle référence !
En tout cas, que de belles courbures que peut prendre une ligne (féminines, je veux dire !)
ainsi que les lignes écrites bien sûr !
Quand la simplicité rencontre l'efficacité... la sensation en est exacerbée.
L'ultime bafouille résume tout : c'est "pure".
Excellent !
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