Le ruisseau est plein de tes rires
mais la nage m'est interdite
noyé dans un torrent de sentiments
je gesticule et expire mes derniers maux
brassant mes mots à l' "essouflée"
je te regarde, du bords, toi et ton corps
ne faisant plus qu'un avec l'élément
liquide dont je ne saurais m'abreuvoir
nectar qui enivre mes nuits
Ah ! la caresse, Ah! cette goutte qui glisse
et s'enfuit déjà de mon regard
comme tes digitales de mes reliefs enfiévrés.
Un jour, saurais-je plonger sans effroi ?
et tanguer de tes lèvres vers les miennes...
jeudi 18 avril 2019
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